C’est depuis peu que le centre culturel Izuba s’est donné pour mission d’offrir un espace d’expression pour des artistes émergents. Notre catalogue des activités se voit de plus en plus enrichi par des événements réguliers comme le « Soul Sunday » et le « Jeu dit ris ». Ce dernier prend ses aises tous les derniers jeudis du mois. Et cette fois, c’est ce 26 janvier 2023.
Doit-on revenir sur les effets positifs du rire pour vous inciter à assister au désormais rendez-vous mensuel du rire au Burundi ? Doit-on crier dans vos oreilles la nécessité de soutenir nos artistes ? Ou bien devrions-nous faire l’éloge de chacun d’eux pour nous pousser à réfléchir sur la chance que nous avons de les avoir avec nous ? La réponse est certainement dans les questions posées ! Venez assister nos artistes.
C’est dans un salon de maison, comme dans nos foyers, que nous assistons à ce spectacle d’humour « Jeu dit ris ». Il s’organise tous les derniers jeudis du moins au centre culturel Izuba. Il transpire la jeunesse. Celle que l’on veut retrouver sur tous les fronts de la vie sociale du pays. Dans ce salon, le décor et les lumières installés nous donnent l’impression d’être dans une vraie salle de spectacle. Et cela l’est ; peut-être.
Le salon du centre culturel Izuba, transformé pour les besoins de la cause en une salle de spectacle, n’enlève en rien la chaleur familiale que nous ressentons dans nos maisons à chaque fois que nous inspirons et expirons l’air. Cette chaleur est contagieuse. Elle se transmet souvent par des éclats de rire où le public communie avec les artistes comme à l’église. Et d’ailleurs comme à l’église, le droit d’assister est volontaire. C’est selon vos moyens et surtout votre bon vouloir. C’est pour cela que nous disons que le prix fixé pour le droit d’entrée est libre.
Dans ce lieu de culture, la scène se partage entre les humoristes confirmés et ceux qui commencent à monter sur les planches. Cette symbiose d’artistes permet de mettre en évidence l’esprit de partage d’expérience qui doit primer. Alors nous espérons vous revoir encore plus nombreux qu’avant. L’excuse du carburant ne tient plus.
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